PONT-DE-L’ARCHE – ENTREPRISES
Le premier club d’affaires archépontain vient de voir le jour
Vendredi 8 novembre, l’espace de coworking La Parenthèse, à Pont-de-l’Arche a accueilli le premier rendez-vous du tout nouveau Business club archépontain.
Pont-de-l’Arche a désormais son club d’affaires. Une trentaine d’entrepreneurs et commerçants des environs de la ville étaient présents pour l’inauguration, vendredi 8 novembre, qui se déroulait à l’espace de coworking La Parenthèse. Et pour cause, c’est le patron des lieux, Mathieu Alvelos, qui est à l’initiative.
« C’est une réflexion qu’on a lancée dès l’ouverture du coworking (en mars 2024, N.D.L.R.), explique-t-il. Mais on ne voulait pas faire un BNI bis, quelque chose de très carré où les membres sont obligés d’aller à toutes les réunions. Il n’y a pas de contrainte, on peut arrêter n’importe quand. Il y a aussi des gens qui sont déjà membres d’un autre club d’affaires, ça ne pose aucun souci. »
« Le commerce, c’est avant tout du feeling. »
— Mathieu ALVELOS, fondateur du Business club archépontain
Concrètement, contre une adhésion de 69 euros par mois, les membres du nouveau Business club archépontain auront accès aux trois petits-déjeuners et afterworks organisés chaque mois, boissons et repas compris. Ils seront aussi répertoriés avec une fiche de présentation dans l’annuaire en ligne du Business club.
« On a choisi une approche sans prise de tête, on vient boire un coup, on discute et on s’échange nos cartes de visite si l’affinité se crée. Il n’y a pas d’obligation de travailler les uns avec les autres. Le commerce, c’est avant tout du feeling et les connexions se font plus facilement dans ce type de cadre », estime Mathieu Alvelos, par ailleurs dirigeant de l’entreprise de menuiserie M2A Habitat.
Présente pour le lancement, Agnès Ruellot, réalisatrice de vidéos et motion designer indépendante installée à Pitres, est séduite par le concept. « Cela permet de rencontrer des gens pour développer l’entreprise. Et voir du monde, quand on fait beaucoup de télétravail, ça fait du bien ! », témoigne-t-elle.
« Je préfère prendre le temps de travailler avec des personnes géographiquement, plutôt que de passer par Internet ou des grosses boîtes. On se voit plus, on ne se parle plus assez aujourd’hui. Tout est rematérialisé », estime de son côté François Gillet, de la société La Maison Du Patrimoine, basée à Léry. Il a déjà pris sa carte de membre.
Prochain afterwork, jeudi 21 novembre, avec une soirée Beaujolais. La soirée est ouverte aux non-adhérents, sous réserve de places disponibles.
— Simon Lenormand
